9h30, nous voilà tous réunis au Club pour le départ de la fameuse sortie gastronomique tant attendue! Quelques petits imprévus font que nous nous retrouvons avec 13 personnes pour 15 places sur les bateaux… Qu’à cela ne tienne, on remplit la Janie avec notre Marina nationale à la barre, et on part avec Yoyo et Diabol’eau sans barreurs.
Un lac plat, une chaleur estivale et un grand soleil nous accompagnent. Départ pour le port de Territet! Sur le Diabol’eau on doit donner de la bleue, sur le Yoyo de la rouge. On aurait dû mixer les équipages pour aller droit…
Arrivé au port de Territet bien après la Janie, un peu au large, Pierre nous avait préparé un apéro: flûtes de champagne plantées sur des tables en sagex, accompagnées des flûtes au beurre. On s’est approchés du Diabol’eau le plus près possible afin d’intercepter la table flottante. Mission accomplie, on a pu trinquer!
Accostage au port de Territet. Les bateaux ont pu rester dans l’eau, mais il a fallu les attacher avec précaution afin de les retrouver tous là et en bon état après le repas. Avec l’aide de quelques esprits ingénieux, des cordes et des frites, nos bateaux étaient en sécurité.
Le port s’est transformé en vestiaires. Pierre avait précisé de prendre des habits de rechange. Cela a été interprété de plusieurs manières: les uns se sont contentés de passer un t-shirt sur leur tenue de sport, voire d’enfiler un short. Emma et Damaris avaient amené leur plus belle robe, bel effort!
Direction la magnifique terrasse du restaurant Le Contretemps. On a bien mangé, on a bien bu, on a bien rigolé.
On se serait bien attardé encore un moment, mais Damaris, prudente, nous rappelle que le vent ne va pas tarder à se lever. Nous voilà donc repartis, les tenues de sport renfilées, l’envie d’une sieste refoulée… Tim nous ayant rejoints au restaurant, on avait récupéré un barreur, ce qui n’était pas un luxe vu l’état du lac qui était déchaîné. La Janie était dans son élément! Elle est d’ailleurs arrivée la première au club, avec une bonne demi-heure d’avance sur ses «concurrents».
Le retour fut plus périlleux pour Le Diabol’eau et le Yoyo, qui ont dû faire 2 haltes pour vider les bateaux, faire des changements de places afin d’être le plus opérationnel possible pour affronter les éléments. Les vagues n’avaient pas découragé les pédalos, nageurs et paddle qui étaient nombreux et qui rajoutaient un peu de challenge à ce retour déjà bien aventureux.
Mais finalement, tout le monde est arrivé sain et sauf au Club, c’est l’essentiel!
Merci Pierre pour la parfaite organisation, et rendez-vous en 2019!